La Chine fait don de matériels agricoles modernes d’une valeur de 120 millions FCFA à la Côte d’Ivoire
Ce don s'inscrit dans le cadre du projet hydro-agricole de Guiguidou, une initiative conjointe qui vise à booster la production rizicole en Côte d'Ivoire. Ce don se compose de 3 moissonneuses-batteuses, 1 unité mobile de traitement de semences, 1 tracteur, 1 unité de décortiqueuse de riz, 2 motoculteurs et 10 tonnes de semences. Le projet, qui s'étend sur 450 hectares, comprend un champ de test de 10 hectares dédié à l'expérimentation de nouvelles variétés de riz. Des résultats probants et un transfert de compétences Les résultats de cette coopération sont déjà tangibles. Grâce à l'expertise chinoise et à l'introduction de nouvelles variétés performantes, la Côte d'Ivoire a déjà homologué 5 variétés de riz. La productivité des riziculteurs ivoiriens bénéficiant de ce programme a également connu une hausse significative, comme en témoigne Ange Ayekpa, un jeune agriculteur. ‘’Ma production sur la même parcelle est passée de 2 sacs de riz à 20. Ça fait 8 ans que j’apprends avec les Chinois, ça m’aide beaucoup’’. Un modèle de coopération à suivre Ce partenariat exemplaire entre la Chine et la Côte d'Ivoire démontre le potentiel immense de la coopération Sud-Sud pour le développement agricole. Il s'agit d'un modèle à suivre pour les autres pays africains qui aspirent à l'autosuffisance alimentaire. ‘’De manière périodique les techniciens chinois font venir du matériel qu’ils expérimentent et qu’ils nous cèdent après. La Chine a 1,4 milliard d’habitants et arrive à nourrir tout ce peuple et exporter du riz. Nous voulons nous inspirer de ce modèle’’, a expliqué Yacouba Dembélé, Directeur général de l’Agence pour le développement de la filière riz (ADERIZ). Les perspectives de collaboration entre la Chine et la Côte d'Ivoire dans le domaine rizicole sont prometteuses. Les deux pays envisagent de développer de nouvelles variétés de riz encore plus performantes et adaptées aux conditions climatiques ivoiriennes. Ils s'engagent également à renforcer la formation des riziculteurs ivoiriens afin qu'ils puissent tirer le meilleur parti des technologies chinoises.
Ce don s'inscrit dans le cadre du projet hydro-agricole de Guiguidou, une initiative conjointe qui vise à booster la production rizicole en Côte d'Ivoire. Ce don se compose de 3 moissonneuses-batteuses, 1 unité mobile de traitement de semences, 1 tracteur, 1 unité de décortiqueuse de riz, 2 motoculteurs et 10 tonnes de semences.
Le projet, qui s'étend sur 450 hectares, comprend un champ de test de 10 hectares dédié à l'expérimentation de nouvelles variétés de riz.
Des résultats probants et un transfert de compétences
Les résultats de cette coopération sont déjà tangibles. Grâce à l'expertise chinoise et à l'introduction de nouvelles variétés performantes, la Côte d'Ivoire a déjà homologué 5 variétés de riz. La productivité des riziculteurs ivoiriens bénéficiant de ce programme a également connu une hausse significative, comme en témoigne Ange Ayekpa, un jeune agriculteur. ‘’Ma production sur la même parcelle est passée de 2 sacs de riz à 20. Ça fait 8 ans que j’apprends avec les Chinois, ça m’aide beaucoup’’.
Un modèle de coopération à suivre
Ce partenariat exemplaire entre la Chine et la Côte d'Ivoire démontre le potentiel immense de la coopération Sud-Sud pour le développement agricole. Il s'agit d'un modèle à suivre pour les autres pays africains qui aspirent à l'autosuffisance alimentaire.
‘’De manière périodique les techniciens chinois font venir du matériel qu’ils expérimentent et qu’ils nous cèdent après. La Chine a 1,4 milliard d’habitants et arrive à nourrir tout ce peuple et exporter du riz. Nous voulons nous inspirer de ce modèle’’, a expliqué Yacouba Dembélé, Directeur général de l’Agence pour le développement de la filière riz (ADERIZ).
Les perspectives de collaboration entre la Chine et la Côte d'Ivoire dans le domaine rizicole sont prometteuses. Les deux pays envisagent de développer de nouvelles variétés de riz encore plus performantes et adaptées aux conditions climatiques ivoiriennes. Ils s'engagent également à renforcer la formation des riziculteurs ivoiriens afin qu'ils puissent tirer le meilleur parti des technologies chinoises.
