"Yvette Kouadja ou le Bouchon à Retirer", un levain pour la cohésion sociale, signé Brigitte Gbadi

La cérémonie de dédicace de ce livre, le premier d’une série, a eu lieu le 15 juin dernier à Cocody, au siège de la Conférence épiscopale régionale de l’Afrique de l’ouest (Cerao). En effet, "Yvette Kouadja ou le Bouchon à Retirer", porte un regard sur la société africaine dans un style métaphorique religieux. La trame est relative à deux femmes, de bonnes amies, ayant décidé de fonder leur amitié à travers l’initiative d’unir les destins de leurs deux enfants, une fille, Yvette et un garçon Jean-Philippe. Malgré le succès du projet des deux mères, Jean-Philippe et Yvette n’étant pas nés naturellement, l’un, né de pratiques occultes de sa mère, et l’autre sa bien-aimée, Yvette Kouadja, réputée pour sa beauté angélique, cette union va payer les frais de l’origine natale mystique du jeune homme et de la joliesse et du charme de Yvette. "Yvette Kouadja ou le bouchon à retirer" est donc le film d’une vie pleine à la fois d’amitié sincère, de vrai-faux amour, d’occultisme, de faits sociaux irrationnels, de jalousie, de relations qui se nouent et se dénouent au gré des intérêts, de vérités cachées à révéler. En un mot, c’est une vue panoramique sur la société ivoiro-africaine, dans une savante construction faite de rebondissements. "Dans ce livre, nous parlons de l’amitié, de la prière, de tout ce qui est relations vraies, de la beauté de l’Afrique, de la beauté de la femme africaine, des mets africains, des festivités africaines, nous parlons aussi de tout ce qu’il y a comme infidélité, mensonge, le caractère sacré de la parole donnée, et sur la parole donnée avancer avec l’autre. Qui peut être le voisin, le collègue, le conjoint, un ami", a souligné l’écrivaine, Brigitte Gbadi. Selon elle, c’est sa contribution à sensibiliser les jeunes à faire de bons choix de vie, à amener les parents à penser à leurs progénitures avant de s’engager dans des projets, car c’est le modèle qu’ils présentent que leurs enfants copient. Edité par "Le lys bleu éditions", Yvette Kouadja ou le Bouchon à Retirer compte sont 92 pages et épouse une démarche narrative assez simple illustrée par des faits vécus par l’auteure.

Juin 30, 2024 - 23:40
"Yvette Kouadja ou le Bouchon à Retirer", un levain pour la cohésion sociale, signé Brigitte Gbadi

La cérémonie de dédicace de ce livre, le premier d’une série, a eu lieu le 15 juin dernier à Cocody, au siège de la Conférence épiscopale régionale de l’Afrique de l’ouest (Cerao).

En effet, "Yvette Kouadja ou le Bouchon à Retirer", porte un regard sur la société africaine dans un style métaphorique religieux.

La trame est relative à deux femmes, de bonnes amies, ayant décidé de fonder leur amitié à travers l’initiative d’unir les destins de leurs deux enfants, une fille, Yvette et un garçon Jean-Philippe.

Malgré le succès du projet des deux mères, Jean-Philippe et Yvette n’étant pas nés naturellement, l’un, né de pratiques occultes de sa mère, et l’autre sa bien-aimée, Yvette Kouadja, réputée pour sa beauté angélique, cette union va payer les frais de l’origine natale mystique du jeune homme et de la joliesse et du charme de Yvette.

"Yvette Kouadja ou le bouchon à retirer" est donc le film d’une vie pleine à la fois d’amitié sincère, de vrai-faux amour, d’occultisme, de faits sociaux irrationnels, de jalousie, de relations qui se nouent et se dénouent au gré des intérêts, de vérités cachées à révéler.

En un mot, c’est une vue panoramique sur la société ivoiro-africaine, dans une savante construction faite de rebondissements.

"Dans ce livre, nous parlons de l’amitié, de la prière, de tout ce qui est relations vraies, de la beauté de l’Afrique, de la beauté de la femme africaine, des mets africains, des festivités africaines, nous parlons aussi de tout ce qu’il y a comme infidélité, mensonge, le caractère sacré de la parole donnée, et sur la parole donnée avancer avec l’autre. Qui peut être le voisin, le collègue, le conjoint, un ami", a souligné l’écrivaine, Brigitte Gbadi.

Selon elle, c’est sa contribution à sensibiliser les jeunes à faire de bons choix de vie, à amener les parents à penser à leurs progénitures avant de s’engager dans des projets, car c’est le modèle qu’ils présentent que leurs enfants copient.

Edité par "Le lys bleu éditions", Yvette Kouadja ou le Bouchon à Retirer compte sont 92 pages et épouse une démarche narrative assez simple illustrée par des faits vécus par l’auteure.