SEIP 2024 : Issam Fakhry et Miriam Kadio Morokro donnent des pistes pour mieux développer son intelligence financière
Selon Miriam Kadio-Morokro, être entrepreneur ne veut pas forcément dire qu’on a eu à faire des études en finance, maîtrise la fiscalité ou tout autre élément intervenant dans la gestion de ses ressources. « Tout s’apprend sur le tas et pour pouvoir mieux se structurer, on peut faire des études ou formations additionnelles pour s’outiller en fonction de la taille de son business », a-t-elle expliqué. Elle précise par ailleurs, qu’il ne faut pas uniquement rester sur un business modèle qui ne vous permet pas d’évoluer. Lorsqu’on constate une baisse de rendement dans ses bénéfices, l’entrepreneur doit se poser des questions pour proposer de nouvelles solutions de produits à ses clients. « Ce sera soit pour faire de la livraison en allant vers ses clients les plus fidèles, faire des marges de réductions pour permettre de fidéliser les autres, ou encore ouvrir une autre boutique pour se rapprocher un peu plus », a-t-elle souligné. Pour sa part, Issam Fakhry a fait savoir que le travail et rien que le travail peut nous aider à développer une autre manière de faire fonctionner son business. « Tout ceux qui travaillent avec moi je les appelle mes collaborateurs, parce que ma philosophie est que je n’ai pas la science infuse et ils peuvent me permettre de faire évoluer mon activité », a lancé le premier responsable du centre commercial Sococé. Pour lui, c’est aussi un moyen de faire évoluer ses activités professionnelles car « chacun de nous a sa manière de créer des richesses, je m’inspire des idées de chaque personne pour mieux développer un système financier qui va tous nous arranger », a-t-il soutenu. A la fin des échanges, il a déclaré qu’un tirage au sort va permettre à un jeune d’être financé à partir d’une cagnotte de 500 000 FCFA, qu’il a décidé de mettre à disposition. Les fonds seront logés dans un compte épargne à Ecobank et il s’agira pour ce dernier, de monter un projet entrepreneurial qui sera suivi de bout de en bout, sur une période d’un an.
Selon Miriam Kadio-Morokro, être entrepreneur ne veut pas forcément dire qu’on a eu à faire des études en finance, maîtrise la fiscalité ou tout autre élément intervenant dans la gestion de ses ressources.
« Tout s’apprend sur le tas et pour pouvoir mieux se structurer, on peut faire des études ou formations additionnelles pour s’outiller en fonction de la taille de son business », a-t-elle expliqué.
Elle précise par ailleurs, qu’il ne faut pas uniquement rester sur un business modèle qui ne vous permet pas d’évoluer. Lorsqu’on constate une baisse de rendement dans ses bénéfices, l’entrepreneur doit se poser des questions pour proposer de nouvelles solutions de produits à ses clients.
« Ce sera soit pour faire de la livraison en allant vers ses clients les plus fidèles, faire des marges de réductions pour permettre de fidéliser les autres, ou encore ouvrir une autre boutique pour se rapprocher un peu plus », a-t-elle souligné.
Pour sa part, Issam Fakhry a fait savoir que le travail et rien que le travail peut nous aider à développer une autre manière de faire fonctionner son business.
« Tout ceux qui travaillent avec moi je les appelle mes collaborateurs, parce que ma philosophie est que je n’ai pas la science infuse et ils peuvent me permettre de faire évoluer mon activité », a lancé le premier responsable du centre commercial Sococé.
Pour lui, c’est aussi un moyen de faire évoluer ses activités professionnelles car « chacun de nous a sa manière de créer des richesses, je m’inspire des idées de chaque personne pour mieux développer un système financier qui va tous nous arranger », a-t-il soutenu.
A la fin des échanges, il a déclaré qu’un tirage au sort va permettre à un jeune d’être financé à partir d’une cagnotte de 500 000 FCFA, qu’il a décidé de mettre à disposition. Les fonds seront logés dans un compte épargne à Ecobank et il s’agira pour ce dernier, de monter un projet entrepreneurial qui sera suivi de bout de en bout, sur une période d’un an.
