Ouverture officielle de la Maison d’arrêt et de correction de Sinfra
"Ce n’est pas seulement un lieu de détention, c’est aussi un espace qui doit incarner nos valeurs républicaines que sont l’humanisme, la justice et la responsabilité", a déclaré M. Kamin, représentant le garde des sceaux, ministère de la justice et des droits de l’homme. Il a fait savoir aux populations que cet établissement doit être perçu comme un espace de réinsertion et de réhabilitation pour les détenus. Il a expliqué que l’objectif fondamental de ce projet est d’offrir un environnement digne aux détenus tout en garantissant le respect de leurs droits humains. "La mission de la prison de Sinfra va bien au-delà de la simple exécution de peines", a-t-il insisté. Selon lui, elle ne sert pas simplement à enfermer des individus, mais à leur offrir une seconde chance en les formant à réintégrer la société de manière "responsable et productive". Aux agents de l’administration pénitentiaire, le directeur a rappelé le rôle qui est le leur dans la réussite de ce projet à savoir le maintien de l’ordre au sein de l’établissement et l’accompagnement des détenus. Le directeur a invité la population de Sinfra à soutenir cette initiative, soulignant que la prison n’est pas construite contre elle, mais pour son bien-être. Le but est de créer un environnement propice à la réhabilitation des détenus tout en maintenant des liens solides avec leurs familles, éléments essentiels à leur réinsertion dans la société. La prison civile de Sinfra a bénéficié d’un important lot de matériels offert par le Conseil national de sécurité (CNS) composé de gilets pare-chocs, des torches de longue portée, un appareil photo Polaroid, des cadenas, des menottes et d’autres équipements dont la nature n’a pas été divulguée pour des raisons de sécurité, dit-on. Jusqu’à l’inauguration de la prison de Sinfra, les détenus étaient transférés à la maison d’arrêt et de correction de Bouaflé.
"Ce n’est pas seulement un lieu de détention, c’est aussi un espace qui doit incarner nos valeurs républicaines que sont l’humanisme, la justice et la responsabilité", a déclaré M. Kamin, représentant le garde des sceaux, ministère de la justice et des droits de l’homme.
Il a fait savoir aux populations que cet établissement doit être perçu comme un espace de réinsertion et de réhabilitation pour les détenus. Il a expliqué que l’objectif fondamental de ce projet est d’offrir un environnement digne aux détenus tout en garantissant le respect de leurs droits humains.
"La mission de la prison de Sinfra va bien au-delà de la simple exécution de peines", a-t-il insisté. Selon lui, elle ne sert pas simplement à enfermer des individus, mais à leur offrir une seconde chance en les formant à réintégrer la société de manière "responsable et productive".
Aux agents de l’administration pénitentiaire, le directeur a rappelé le rôle qui est le leur dans la réussite de ce projet à savoir le maintien de l’ordre au sein de l’établissement et l’accompagnement des détenus.
Le directeur a invité la population de Sinfra à soutenir cette initiative, soulignant que la prison n’est pas construite contre elle, mais pour son bien-être. Le but est de créer un environnement propice à la réhabilitation des détenus tout en maintenant des liens solides avec leurs familles, éléments essentiels à leur réinsertion dans la société.
La prison civile de Sinfra a bénéficié d’un important lot de matériels offert par le Conseil national de sécurité (CNS) composé de gilets pare-chocs, des torches de longue portée, un appareil photo Polaroid, des cadenas, des menottes et d’autres équipements dont la nature n’a pas été divulguée pour des raisons de sécurité, dit-on.
Jusqu’à l’inauguration de la prison de Sinfra, les détenus étaient transférés à la maison d’arrêt et de correction de Bouaflé.