Le Fonsti lance un appel à projets pour améliorer la santé sexuelle et reproductive chez la femme en milieu rural
« Cet appel à projet vise à encourager la conception et la mise en œuvre de projets ambitieux capables de réduire les disparités en matière de santé sexuelle et reproductive, renforcer le système de santé ivoirien, d'introduire des solutions technologiques adaptées aux réalités locales et d'évaluer et valoriser le patrimoine médical national, en intégrant harmonieusement la médecine traditionnelle et moderne, notamment dans les zones rurales », a expliqué Yaya Sangaré, secrétaire général du FONSTI. Selon lui, les standards de recherche établis fixent une durée maximale de 36 mois par projet, pour un montant global de 240 000 000 FCFA. « Grâce à cet appui financier acquis auprès du Centre de Recherches pour le Développement International du Canada (CRDI), nous disposons d’un levier pour garantir l’impact et la durabilité des recherches entreprises », a précisé Yaya Sangaré. Se définissant sur 05 axes thématiques stratégiques, à savoir, la gouvernance de la santé maternelle et la construction de systèmes de santé durables en milieu rural ; la résilience face aux obstacles d’accessibilité géographique et la gestion des complications obstétricales en milieu rural. Sans oublier la santé mentale de la mère et de l’adolescente, en vue d’accompagner les mères et les jeunes filles dans la gestion de leur santé mentale et le continuum entre médecine traditionnelle et médecine moderne qui va consister à intégrer des approches, pour mieux répondre aux besoins présents. « Ces thématiques traduisent un impératif de collaboration interdisciplinaire, un appel à l’innovation et une invitation à proposer des solutions concrètes, durables et centrées sur les patientes », a-t-il ajouté. Pour lui, cela constitue une opportunité pour tous les chercheurs ivoiriens à s'engager dans des projets durables pour améliorer la santé des mères et des adolescentes en Côte d'Ivoire. Arnaud Kevin Bayoro, membre du conseil scientifique du FONSTI, a profité de l’occasion pour inviter les universitaires, les chercheurs, les techniciens, les experts et autres responsables d’ONG, afin de mener des réflexions sur ce problème. Mais aussi, à mutualiser leurs efforts et à apporter les informations nécessaires pour permettre aux décideurs de mieux orienter la politique de santé publique en Côte d’Ivoire. Constant COCORA
« Cet appel à projet vise à encourager la conception et la mise en œuvre de projets ambitieux capables de réduire les disparités en matière de santé sexuelle et reproductive, renforcer le système de santé ivoirien, d'introduire des solutions technologiques adaptées aux réalités locales et d'évaluer et valoriser le patrimoine médical national, en intégrant harmonieusement la médecine traditionnelle et moderne, notamment dans les zones rurales », a expliqué Yaya Sangaré, secrétaire général du FONSTI.
Selon lui, les standards de recherche établis fixent une durée maximale de 36 mois par projet, pour un montant global de 240 000 000 FCFA. « Grâce à cet appui financier acquis auprès du Centre de Recherches pour le Développement International du Canada (CRDI), nous disposons d’un levier pour garantir l’impact et la durabilité des recherches entreprises », a précisé Yaya Sangaré.
Se définissant sur 05 axes thématiques stratégiques, à savoir, la gouvernance de la santé maternelle et la construction de systèmes de santé durables en milieu rural ; la résilience face aux obstacles d’accessibilité géographique et la gestion des complications obstétricales en milieu rural.
Sans oublier la santé mentale de la mère et de l’adolescente, en vue d’accompagner les mères et les jeunes filles dans la gestion de leur santé mentale et le continuum entre médecine traditionnelle et médecine moderne qui va consister à intégrer des approches, pour mieux répondre aux besoins présents.
« Ces thématiques traduisent un impératif de collaboration interdisciplinaire, un appel à l’innovation et une invitation à proposer des solutions concrètes, durables et centrées sur les patientes », a-t-il ajouté.
Pour lui, cela constitue une opportunité pour tous les chercheurs ivoiriens à s'engager dans des projets durables pour améliorer la santé des mères et des adolescentes en Côte d'Ivoire.
Arnaud Kevin Bayoro, membre du conseil scientifique du FONSTI, a profité de l’occasion pour inviter les universitaires, les chercheurs, les techniciens, les experts et autres responsables d’ONG, afin de mener des réflexions sur ce problème.
Mais aussi, à mutualiser leurs efforts et à apporter les informations nécessaires pour permettre aux décideurs de mieux orienter la politique de santé publique en Côte d’Ivoire.
Constant COCORA