Koukougnon Chris Yvon alias "Johnny Patcheko", accusé de diffuser des propos à caractère diffamatoire, injurieux et attentatoires à la sécurité nationale
L’autorité administrative indépendante chargée de la régulation de la communication audiovisuelle en Côte d’Ivoire pointe du doigt Chris-Yvon Koukougnon alias "Johnny Patcheko", accusé de diffuser des propos à caractère diffamatoire, injurieux et attentatoires à la dignité, à la vie privée et à la sécurité. Selon la HACA, ces plateformes numériques sont utilisées abusivement pour porter atteinte à l’honneur et à la réputation d’institutions, de citoyens et de personnalités publiques, en violation des lois en vigueur. Ces actes vont également à l’encontre des règlements internationaux en matière de communication numérique. L’autorité de régulation relève plusieurs infractions, parmi lesquelles la diffusion de propos diffamatoires, la propagation de fausses informations, le cyberharcèlement, la divulgation non autorisée de données personnelles et le financement d’activités illégales. Elle rappelle que ces infractions sont sévèrement punies par les lois nationales et internationales ainsi que par les politiques de modération des grandes plateformes numériques. En outre, la HACA avertit que toute personne partageant ou relayant ces contenus illégaux encourt les mêmes sanctions pénales que l’auteur principal et considère que Chris-Yvon Koukougnon a transformé les réseaux sociaux en un espace de calomnie et de désinformation à grande échelle, mettant en péril la protection des institutions de la République, la défense et la sécurité nationales. Dans le communiqué, elle annonce également la mise en place de mesures visant à empêcher les individus se livrant à ces activités de poursuivre leurs actions, en collaboration avec les plateformes numériques telles que Facebook, Instagram, WhatsApp, TikTok, Telegram et YouTube.
L’autorité administrative indépendante chargée de la régulation de la communication audiovisuelle en Côte d’Ivoire pointe du doigt Chris-Yvon Koukougnon alias "Johnny Patcheko", accusé de diffuser des propos à caractère diffamatoire, injurieux et attentatoires à la dignité, à la vie privée et à la sécurité.
Selon la HACA, ces plateformes numériques sont utilisées abusivement pour porter atteinte à l’honneur et à la réputation d’institutions, de citoyens et de personnalités publiques, en violation des lois en vigueur. Ces actes vont également à l’encontre des règlements internationaux en matière de communication numérique.
L’autorité de régulation relève plusieurs infractions, parmi lesquelles la diffusion de propos diffamatoires, la propagation de fausses informations, le cyberharcèlement, la divulgation non autorisée de données personnelles et le financement d’activités illégales. Elle rappelle que ces infractions sont sévèrement punies par les lois nationales et internationales ainsi que par les politiques de modération des grandes plateformes numériques.
En outre, la HACA avertit que toute personne partageant ou relayant ces contenus illégaux encourt les mêmes sanctions pénales que l’auteur principal et considère que Chris-Yvon Koukougnon a transformé les réseaux sociaux en un espace de calomnie et de désinformation à grande échelle, mettant en péril la protection des institutions de la République, la défense et la sécurité nationales.
Dans le communiqué, elle annonce également la mise en place de mesures visant à empêcher les individus se livrant à ces activités de poursuivre leurs actions, en collaboration avec les plateformes numériques telles que Facebook, Instagram, WhatsApp, TikTok, Telegram et YouTube.
