Projets C2D : plus de 1 900 milliards de FCFA investis en douze ans pour le développement socioéconomique de la Côte d’Ivoire
Ce partenariat entre la France et la Côte d’Ivoire, a permis de transformer durablement le paysage socioéconomique de la Côte d’Ivoire, selon le ministre du Patrimoine, du Portefeuille de l’État et des Entreprises Publiques. Lancée en 2013, la mise en œuvre des projets C2D a abouti, entre autres, à la construction de 116 écoles primaires, 135 collèges de proximité, de l’Institut national de formation judiciaire (INFJ), de ponts et routes, à l’extension de l’adduction en eau potable à Abidjan et dans l’Ouest, à l’équipement d’hôpitaux ainsi qu’à l’accompagnement de plus de 50 000 jeunes vers l’emploi. "Le C2D a été un allié précieux dans la relance économique de la Côte d’Ivoire au sortir de la crise postélectorale en 2013", a déclaré Moussa Sanogo. Il a rappelé qu’entre 2012 et 2019, le pays a enregistré une croissance moyenne du PIB de plus de 7 % par an, poursuivant sur une trajectoire résiliente avec une moyenne de 6,5 % entre 2020 et 2021, malgré les chocs externes tels que la pandémie de COVID-19. Sur le plan social, le ministre a souligné une baisse notable du taux de pauvreté, passé de 55,4 % en 2011 à 37,5 % en 2021, soit une réduction de 18 points de pourcentage. Il a également salué les avancées dans l’administration publique, grâce à une meilleure efficacité de la dépense, des gains d’efficience, le renforcement de la transparence et une lutte plus rigoureuse contre la corruption. Prenant part à la cérémonie, Suzanne Koukoui-Prada, conseillère Afrique à la Direction générale du Trésor français, a estimé que cette 3ᵉ revue, qui s’étendra sur cinq jours, constitue une « opportunité de réflexion commune pour dresser le bilan, identifier des leviers d’amélioration et préparer l’avenir ». Quant à l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Jean-Christophe Belliard, il a mis en lumière la relation de confiance bâtie autour de ce programme. "Au fil des années, la Côte d’Ivoire et la France ont fait du C2D bien plus qu’un simple mécanisme financier. C’est un véritable instrument d’investissement dans les secteurs essentiels", a-t-il déclaré. Pour mémoire, les trois C2D ont été signés respectivement en 2012, 2014 et 2021, et ont touché de nombreux domaines clés du développement ivoirien, de l’éducation à la santé, en passant par l’infrastructure et l’emploi.
Ce partenariat entre la France et la Côte d’Ivoire, a permis de transformer durablement le paysage socioéconomique de la Côte d’Ivoire, selon le ministre du Patrimoine, du Portefeuille de l’État et des Entreprises Publiques.
Lancée en 2013, la mise en œuvre des projets C2D a abouti, entre autres, à la construction de 116 écoles primaires, 135 collèges de proximité, de l’Institut national de formation judiciaire (INFJ), de ponts et routes, à l’extension de l’adduction en eau potable à Abidjan et dans l’Ouest, à l’équipement d’hôpitaux ainsi qu’à l’accompagnement de plus de 50 000 jeunes vers l’emploi.
"Le C2D a été un allié précieux dans la relance économique de la Côte d’Ivoire au sortir de la crise postélectorale en 2013", a déclaré Moussa Sanogo. Il a rappelé qu’entre 2012 et 2019, le pays a enregistré une croissance moyenne du PIB de plus de 7 % par an, poursuivant sur une trajectoire résiliente avec une moyenne de 6,5 % entre 2020 et 2021, malgré les chocs externes tels que la pandémie de COVID-19.
Sur le plan social, le ministre a souligné une baisse notable du taux de pauvreté, passé de 55,4 % en 2011 à 37,5 % en 2021, soit une réduction de 18 points de pourcentage. Il a également salué les avancées dans l’administration publique, grâce à une meilleure efficacité de la dépense, des gains d’efficience, le renforcement de la transparence et une lutte plus rigoureuse contre la corruption.
Prenant part à la cérémonie, Suzanne Koukoui-Prada, conseillère Afrique à la Direction générale du Trésor français, a estimé que cette 3ᵉ revue, qui s’étendra sur cinq jours, constitue une « opportunité de réflexion commune pour dresser le bilan, identifier des leviers d’amélioration et préparer l’avenir ».
Quant à l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Jean-Christophe Belliard, il a mis en lumière la relation de confiance bâtie autour de ce programme. "Au fil des années, la Côte d’Ivoire et la France ont fait du C2D bien plus qu’un simple mécanisme financier. C’est un véritable instrument d’investissement dans les secteurs essentiels", a-t-il déclaré.
Pour mémoire, les trois C2D ont été signés respectivement en 2012, 2014 et 2021, et ont touché de nombreux domaines clés du développement ivoirien, de l’éducation à la santé, en passant par l’infrastructure et l’emploi.
